Je vous propose un billet d’humeur sur les starts-up et leurs figures de proue… leurs « CEO » !
Pour m’être modestement lancé également dans l’entrepreneuriat, je mesure l’énergie et le temps qu’il faut sacrifier à la réussite de son projet.
Néanmoins la mise en scène permanente de certain-e-s #ceo #digital #entrepreneur #positive #coaching #and-so-on me fatigue un peu.
J’ai l’impression que parfois, le projet, le produit, l’équipe passent au second plan et que le « personal branding » prend le pas dans ce bourbillon de pitch, de growth hacking et de réseautage.
A tel point que, franchement, j’ai l’impression que ce sont eux qui sont à vendre. On en soupe sur tous les réseaux sociaux, les soirées qu’ils font, les week-end qu’ils font, où est leur valeur ajoutée, où sont leurs collègues ?
Confondent-ils être & faire ?
Quel est leur véritable objectif ? Juste se faire connaître ? Lever des K€ pour les brûler et devenir #serial entrepreneur ?
Allez, ami-e-s entrepreneurs pensez-y à deux fois avant de poster 🙂
Au delà de ce léger coup de gueule, et pour aller plus loin, il existe pas mal de littérature autour de la gestion délicate des égos dans le cadre des start-up.
Les deux principaux effets
>> Conflit entre co-fondateurs (à la création et sur l’objectif surtout)
>> Inadaptation du produit au marché par manque d’humilité (refus de toucher à l’idée initiale)
Il est primordial à mes yeux de ne pas diluer son leadership dans un trop plein d’ego.
Un lien vers un article plus complet de Forbes.